Test du Turtle Beach Stealth Pro : allez n’importe où, jouez n’importe quoi

Peux-tu vraiment tout avoir dans un seul casque ? Le nouveau Stealth Pro de Turtle Beach, que la société appelle «le roi» du jeu sans fil, vise à prouver que vous le pouvez. Ces canettes sans fil offrent un large éventail de fonctionnalités dans le but d’être votre compagnon de jeu ultime.

Annulation de bruit? Vérifier. Son EQ-réglable? Ouais. Prise en charge complète de la plate-forme ? En effet. Les écouteurs sans fil ont même des batteries interchangeables, de sorte que vous n’êtes jamais laissé froid lors d’une session de jeu chaude. S’il y a une fonctionnalité de jeu dont vous avez entendu parler, le Stealth Pro l’a probablement, le tout enveloppé dans un châssis relativement élégant.

Certes, il y a un peu l’effet touche-à-tout ici. Les Stealth Pro font à peu près tout bien, mais ils ne sont pas nécessairement les meilleurs dans un domaine donné. À 330 $, ils représentent également un investissement considérable. Mais si vous pouvez supporter le prix, cette paire a les marchandises là où ça compte, ce qui en fait un accessoire de jeu luxueux, peu importe ce que vous aimez, et même une solide paire d’écouteurs de voyage en un clin d’œil.

Le casque rencontre le casque

Photo : Turtle Beach

Le meilleur compliment que je puisse faire au style du Stealth Pro est qu’il n’est pas trop avant-gardiste. Ils ne seront pas confondus avec une paire de Sony ou de Sennheiser, en particulier avec le microphone amovible en place, mais par rapport à des rivaux comme l’HyperX Cloud Alpha (10/10, WIRED Recommends), le Stealth Pro a l’air positivement débonnaire dans son noir et palette de couleurs en acier.

Le châssis est lourd et un peu lourd à un peu plus de 400 grammes, mais un rembourrage épais recouvert de similicuir doux le long des oreillettes et de la bande maintient les choses assez confortables. J’ai porté le casque pendant environ trois heures sans me plaindre ; quand j’ai senti une certaine usure sur ma tête, déplacer le groupe a aidé à rééquilibrer les choses.

Les oreillettes offrent une isolation phonique solide et, lorsqu’elles sont combinées à la suppression active du bruit réglable du casque, vous pouvez efficacement échapper au monde extérieur lorsque vous écoutez de la musique ou jouez. Ce n’est pas un ANC de haut niveau, en particulier dans les registres supérieurs, où le casque est facilement battu par des maîtres du monde du casque comme le Sony WH-1000XM4 et le XM5 plus récent (9/10, WIRED Recommends). En fait, je me suis retrouvé à le baisser d’un cran ou deux pendant le jeu, ce qui a atténué le bruit blanc et m’a gardé au moins marginalement conscient du monde qui m’entoure.

Sur l’oreillette gauche se trouve un port pour le microphone à baguette, qui a très bien fonctionné dans mes campagnes de jeux en ligne. Un ami a dit qu’il sonnait « 100 fois mieux » que mon casque précédent. Bien sûr, le Stealth Pro coûte environ 10 fois plus cher que mon ancien modèle de radin. Le micro peut également être tourné vers le haut pour couper le son, et si vous ne voulez pas l’utiliser, il y a deux micros intégrés. Ceux-ci fonctionnent également assez bien mais captent beaucoup plus de bruit ambiant.

François Zipponi
Je suis François Zipponi, éditorialiste pour le site 10-raisons.fr. J'ai commencé ma carrière de journaliste en 2004, et j'ai travaillé pour plusieurs médias français, dont le Monde et Libération. En 2016, j'ai rejoint 10-raisons.fr, un site innovant proposant des articles sous la forme « 10 raisons de... ». En tant qu'éditorialiste, je me suis engagé à fournir un contenu original et pertinent, abordant des sujets variés tels que la politique, l'économie, les sciences, l'histoire, etc. Je m'efforce de toujours traiter les sujets de façon objective et impartiale. Mes articles sont régulièrement partagés sur les réseaux sociaux et j'interviens dans des conférences et des tables rondes autour des thèmes abordés sur 10-raisons.fr.