Examen du vélo de montagne électrique REI Co-op Cycles DRT e3.1 : un VTT électrique agile frappe fort

Divulgation complète : je suis un fan inconditionnel des vélos électriques de banlieue, car ils éliminent l’utilisation de voitures et rendent les courses banales beaucoup plus amusantes. Les VTT électriques, pas tellement. Pour un cycliste valide, ajouter un moteur électrique à l’équation semble exagéré. De plus, à mon avis non scientifique, en raison de leur poids et de leur force gravitationnelle, les VTT électriques semblent causer plus de dégâts aux sentiers de terre, effrayer les autres cyclistes et la faune, et se sentir moins en sécurité que les vélos de montagne conventionnels.

À ma grande surprise, cependant, j’ai découvert que deux de ces trois problèmes étaient démystifiés dans un rapport de recherche sur les vélos électriques de 2022 formulé par la Federal Highway Administration Western Federal Lands Highway Division et le Volpe Center du Département américain des transports. Selon le rapport, les VTT électriques sur les sentiers ne déplacent pas le sol et n’effrayent pas la faune plus que les vélos de montagne conventionnels (avec la mise en garde qu’il n’y a pas beaucoup de recherches disponibles sur cette dernière question). En termes de sécurité, il n’est pas clair si le rapport fait spécifiquement référence aux VTT électriques, mais il indique que les schémas de blessures des vélos électriques et des vélos conventionnels sont similaires, bien que les vélos électriques aient tendance à avoir un taux plus élevé de traumatismes crâniens. De plus, les blessures liées aux vélos électriques sont trois fois plus susceptibles d’impliquer une collision avec un piéton.

Je suis assez vieux pour savoir qu’il ne faut pas tenter le destin lorsque mon cerveau est en jeu, mais je suis encore assez jeune et stupide pour avoir soif de vitesse et de plaisir. Et s’il y a une raison pour laquelle les gens utilisent des VTT électriques, c’est parce qu’ils sont amusants. Le nouveau VTT électrique de REI est une réponse au désir apparemment insatiable du public d’intensifier ce facteur.

Il existe de nombreux scénarios dans lesquels les VTT électriques peuvent être vraiment utiles. Ils sont parfaits pour les personnes qui ne peuvent pas conduire un vélo de montagne conventionnel pour quelque raison que ce soit, pour les secouristes qui ont besoin d’un accès rapide aux zones difficiles d’accès et pour les chasseurs qui souhaitent une alternative à un véhicule tout-terrain à quatre roues. . Ils sont également de plus en plus choisis par les vététistes qui vivent dans de véritables montagnes et souhaitent gravir des montées longues et raides en peu de temps afin de pouvoir descendre plus rapidement. Avec tout cela à l’esprit, j’ai suspendu mes angoisses morales pendant quelques semaines pour tester le nouveau DRT e3.1 de REI Co-op Cycles.

Photographie : REI

Lorsque le vélo est arrivé, j’ai été impressionné par ses spécifications. Le vélo de classe 1, qui offre une assistance au pédalage jusqu’à 20 mph, possède un cadre en aluminium avec un moteur à entraînement central Bosch performance-line et une batterie de 625 watts-heure dans le tube diagonal. Le vélo dispose également d’une tige de selle télescopique, d’un débattement de 140 mm dans la fourche avant RockShox Recon Silver RL Solo Air et de 130 mm de débattement dans l’amortisseur arrière RockShox Deluxe Select Plus RT, ce qui le place dans le sentier à mi-course. catégorie de vélo, capable de gérer la plupart des types de singletrack que les pilotes non enduro ou de descente voudront aborder. La transmission à 12 vitesses est Sram SX Eagle et le vélo roule avec des pneus de vélo électrique Kenda Nevegal tubeless-ready de 2,5 pouces de large. Les cadres plus petits sont équipés de roues de 27,5 pouces, et les cadres moyens à XL sont équipés de roues de 29 pouces. Tout cela, et la finition mate vert olive a de la classe.

Photographie : REI

François Zipponi
Je suis François Zipponi, éditorialiste pour le site 10-raisons.fr. J'ai commencé ma carrière de journaliste en 2004, et j'ai travaillé pour plusieurs médias français, dont le Monde et Libération. En 2016, j'ai rejoint 10-raisons.fr, un site innovant proposant des articles sous la forme « 10 raisons de... ». En tant qu'éditorialiste, je me suis engagé à fournir un contenu original et pertinent, abordant des sujets variés tels que la politique, l'économie, les sciences, l'histoire, etc. Je m'efforce de toujours traiter les sujets de façon objective et impartiale. Mes articles sont régulièrement partagés sur les réseaux sociaux et j'interviens dans des conférences et des tables rondes autour des thèmes abordés sur 10-raisons.fr.