Elle est déséquilibrée, elle est méchante… Devons-nous pour autant la détester ou encore lui jeter la première pierre ? Peut-être qu’il va falloir regarder le film pour connaitre toute l’histoire avant porter son jugement. En plus elle vient de rompre avec son amoureux qui n’est autre que le fameux Joker, le pire ennemi de Batman. Vous êtes dubitatif ? Découvrez notre article : 10 raisons d’aller voir Birds of Prey.

Un trailer… de folie !
Originale et folle, c’est le moins que l’on puisse dire de la bande originale de Birds of Prey. Un trailer qui correspond bien avec le caractère d’Harley Quinn, le personnage principal du dernier film de l’Univers DCEU.
Une Harley Quinn au centre de l’intérêt
Précédemment dans Suicide Squad, le personnage interprété par Margot Robbie a été un peu mal estimé. Elle n’obtient alors pas l’attention qu’elle mérite réellement. Heureusement que DC a fait un film rien que pour elle pour pouvoir la mettre au centre de l’intérêt, et quelle réussite : entre maquillages parfaitement réalisés et costumes de hautes volées, le personnage est décidément réussi. Le genre de film qui donne envie de se maquiller tous les jours avec folie !
Un méchant digne de ce nom
On en a presque marre d’un méchant avec des super-pouvoirs ou d’un être maléfique venant d’un autre univers. Dans ce volet, Harley Quinn, accompagnée de Huntress, de Black Canary et de Renee Montoya, combat un simple mortel : Roman Sionis, alias Black Mask. Mais attention, c’est un simple humain très puissant qui a le contrôle de beaucoup de gens.
Le R-Rating
Birds of Prey se différencie des autres films DC grâce à la cote R. Une note qui lui permet d’augmenter le niveau de violence et de réaliser des scènes d’action jamais vues, des choses qui n’auraient jamais pu être réalisées dans l’Univers DC. Aller voir Birds of Prey c’est donc aller voir le renouveau de l’univers DC, et c’est en soi déjà une bonne raison.
Place aux personnages second rôle
La cinquième raison de regarder Birds of Prey c’est que le film se concentre moins sur les héros principaux. Donc pas de Batman ni de Superman et encore moins Green Arrow. En d’autres termes, les réalisateurs ont donné plus de place aux personnages moins connus. Comme ça, on connait les origines de ces super méchants.
Une réalisation qui s’adapte bien avec le personnage
Dans ce volet, le film capture bien l’esprit d’Harley Quinn. Les réalisateurs ont fait le maximum pour que le film soit aussi proche que possible de la personnalité du personnage titulaire. On constate des couleurs vives, des tenues extravagantes, une intrigue aussi folle qu’Harley Quinn elle-même…
Un mélange équilibré
Avec l’Univers DC, on a tendance à voir des tons plus sombres. Comme le cas de Suicid Squad, Batman VS Superman, ou encore Man of Steel. Cette fois-ci, le challenger de la MCU a opté pour des tons plus clairs. Avec miss Quinn et ses amies, on constate un juste équilibre entre moments clairs et sombres, comédie et violence, scènes tristes et violentes… elle est un peu fofolle, mais elle joue bien son rôle.
Birds of Prey, les séquences d’action n’y manquent pas
L’ex-petite amie du Joker est aussi folle que les séquences d’action sont intenses et hallucinantes. Les tendances timbrées de Harley Quinn ont permis au film d’être classée R. Mais sachez que même si les combats et les scènes d’actions sont nombreux, cela n’enlève rien à l’intrigue du film.
Un peu de comédie ne fera pas de mal
Le comique n’est pas du tout le point fort des films DCEU. Mais depuis Shazam, ils ont fait un effort pour se concentrer sur le côté amusant des choses. A ça manière, Birds of Prey combine l’humour de Miss Quinn avec les tons sombres du film afin de faire d’elle une héroïne amusante et… sexy.
La représentation
Après Wonder Woman, la tueuse de dieux, place à Harley Quinn. Le DCEU commence à donner de la valeur aux personnages féminins. Par ailleurs, Birds of Prey est le premier film DCEU à présenter le plus grand nombre de personnages féminins. On peut presque dire qu’aller voir Birds of Prey est un acte féministe. Bravo à Margot et à Gal d’interpréter ces personnages, en plus d’avoir accélérer leur carrière cinématographique.