Test d’Ultimate Ears Pro UE Premier : une expérience spirituelle limite

Regarder l’intérieur des premiers ministres, c’est comme regarder une sorte d’appareil cybernétique du futur de John Connor. Les haut-parleurs comprennent, de grave à aigu, quatre subwoofers dédiés, huit haut-parleurs pour couvrir la plage moyenne-basse, quatre haut-parleurs de médium, quatre super tweeters haute fréquence et un pilote True Tone exclusif conçu pour capturer toutes les harmoniques et harmoniques supérieures présentes. dans le mélange. Il existe également un crossover passif à cinq voies qui dirige chaque son entrant vers le meilleur pilote pour celui-ci. Les Premier sont capables de délivrer des fréquences aussi basses que 5 Hz et aussi élevées que 40 000 Hz, les deux extrêmes étant hors de portée de l’oreille humaine.

Tous ces composants s’additionnent : ces écouteurs coûtent 3 000 $ la paire. Ultimate Ears Pro commercialise les Premiers auprès de pratiquement tous ceux qui peuvent se le permettre. Cela inclut les musiciens qui se produisent devant des foules bondées, les ingénieurs de studio, les compositeurs et tout simplement les vieux audiophiles disposant d’un revenu disponible. Traditionnellement, UE Pro a ciblé différents produits sur différentes données démographiques, il est donc intéressant de le voir adopter ici une sorte d’approche « un seul anneau pour les gouverner tous ». En fait, j’avais déjà une paire des derniers IEM phares de la société, le très apprécié UE Live (huit pilotes par oreille, 2 299 $), que j’ai utilisé de manière obsessionnelle au cours des quatre dernières années, j’ai donc pu en faire un tas. comparaisons individuelles utilisant une variété de lecteurs de musique et de sources musicales.

La première chose que j’ai remarquée, c’est que les Premiers sont plus grands que les Lives. La façade du Live s’aligne avec le plan de mon oreille externe, tandis que les Premiers dépassent légèrement. Ils sont également un peu plus serrés dans mon oreille et il m’a fallu une semaine ou deux pour m’y habituer. Ils n’ont pas de suppression active du bruit, mais ils sont si bien ajustés qu’ils bloquent environ 26 décibels de son ambiant, un niveau de bruit équivalent au murmure d’un bureau ouvert. Vous n’aurez aucune difficulté à entendre le son malgré le rugissement d’un avion, ou quoi que ce soit d’autre. Les Premiers sont dotés de trois trous : un canal principal pour diffuser le son, un petit trou à côté qui permet de diffuser des fréquences supplémentaires et un petit trou vers le haut de votre oreille (près des crus hélicoïdaux) qui est exclusivement utilisé pour évacuer la pression. (mieux pour vos tympans et pour les performances des basses, presque comme des écouteurs ouverts).

Les Premiers sont livrés avec un câble échangeable avec les connecteurs IPX67 propriétaires de UE Pro. Cela signifie que vous pouvez remplacer un câble endommagé, échanger un câble avec un micro pour utiliser les écouteurs pour les appels, ou même brancher un câble Bluetooth qui vous permet de les exécuter sans fil. Vous recevez également un étui de transport gravé et un outil de nettoyage. Pour ma façade personnalisée, j’ai choisi une touche multicolore, mais le bois, la nacre et la fibre de carbone sont toutes des options.

Sound check

Photo : Ultimate Ears Pro

Le nombre de haut-parleurs que vous introduisez dans les écouteurs n’a pas vraiment d’importance s’ils ne sonnent pas bien. Heureusement, les Premiers offrent des paysages sonores absolument époustouflants. La musique est si pleine et si riche. La séparation entre les différents instruments est impeccable. Sur des écouteurs ou des haut-parleurs de moindre qualité, vous entendez parfois certains instruments baisser le volume pour laisser de la place à d’autres. Dans les Premières, chaque instrument semble occuper son propre espace et tout semble être en parfait équilibre.

François Zipponi
Je suis François Zipponi, éditorialiste pour le site 10-raisons.fr. J'ai commencé ma carrière de journaliste en 2004, et j'ai travaillé pour plusieurs médias français, dont le Monde et Libération. En 2016, j'ai rejoint 10-raisons.fr, un site innovant proposant des articles sous la forme « 10 raisons de... ». En tant qu'éditorialiste, je me suis engagé à fournir un contenu original et pertinent, abordant des sujets variés tels que la politique, l'économie, les sciences, l'histoire, etc. Je m'efforce de toujours traiter les sujets de façon objective et impartiale. Mes articles sont régulièrement partagés sur les réseaux sociaux et j'interviens dans des conférences et des tables rondes autour des thèmes abordés sur 10-raisons.fr.