Depuis des décennies, les médicaments à base de Chloroquine et d’Hydroxychloroquine ont été des traitements de première ligne contre le paludisme. Aujourd’hui, ces médicaments pourraient reprendre une nouvelle vie en tant que traitements antiviraux pour le nouveau Coronavirus qui est apparu à Wuhan, en Chine, fin 2019, et a infecté quelque 25000 personnes dans plus de 25 pays. On vous explique pourquoi on pense que la Chloroquine va nous sauver du coronavirus en attendant que le confinement se termine, et donc ainsi, il est inutile de paniquer face au coronavirus.
Des puissantes capacités antivirales et anti-inflammatoires
Les propriétés antivirales de la Chloroquine ont été explorées au milieu des années 90 contre le VIH et au cours de la décennie suivante contre le syndrome respiratoire aigu sévère, le fameux SRAS, qui est étroitement lié au nouveau Coronavirus. En 2004, des chercheurs en Belgique ont découvert que la chloroquine inhibait la réplication du SRAS en culture cellulaire.
Le célèbre Professeur Raoult vient de rendre des résultats très prometteurs
Le Professeur Didier Raoult vient d’annoncer les incroyables résultats de ses essais cliniques menés sur 24 patients français. Après seulement 6 jours de traitement, 75% des patients traités avec de l’Hydroxychloroquine ne seraient plus porteurs du virus, contre 10% seulement des patients qui n’ont pas reçu ce traitement, un indice de plus permettant de penser que oui, la chloroquine va nous sauver du coronavirus.
Associé à l’Azithromycine, l’Hydroxychloroquine est encore plus efficace !
L’Azithromycine a montré en laboratoire qu’elle était efficace contre un grand nombre de virus, bien que ce soit un antibiotique. Voici les résultats de l’étude comparative menée par le Professeur Raoult, lorsque des patients contaminés sont sous traitement de Plaquenil du la laboratoire français Sanofi (Hydroxychloroquine) et d’Azithromycine en même temps :
Sanofi va offrir du Plaquenil
Le laboratoire français va offrir aux hôpitaux du Plaquenil, son médicament à base d’Hydroxychloroquine :
« Sanofi s’engage à mettre son traitement à la disposition de la France et à offrir plusieurs millions de doses qui pourraient permettre de traiter 300.000 patients » a rapporté le porte-parole du laboratoire Sanofi.
Elon Musk en parle !
Le PDG de Tesla, qui a lui-même failli mourir du paludisme et qui a été sauvé grâce à la Chloroquine, vient de publier ce 16 mars 2020 sur Twitter :
Le Royaume-Uni vient d’interdire l’exportation d’Hydroxychloroquine
Le gouvernement britannique craint une pénurie d’Hydroxychloroquine : l’exportation est désormais limitée pour répondre aux besoins des patients britanniques, a indiqué le gouvernement. L’exportation parallèle se produit lorsque des grossistes achètent des médicaments mis sur le marché au Royaume-Uni, pour les vendre ensuite dans un autre pays de l’Union Européenne. L’exportation et la spéculation de médicaments par les grossistes peuvent créer ou aggraver les pénuries de médicaments.
Le COVID-19 d’aujourd’hui ressemble au SRAS d’hier
Le Coronavirus du SRAS présente des similitudes importantes avec celui du COVID-19 que nous connaissons actuellement ; et selon des recherches américaines, la Chloroquine qui avait de puissants effets antiviraux à la fois antiseptiques et thérapeutiques sur le Coronavirus du SRAS, serait tout aussi efficace pour le COVID-19.
Des effets secondaires limités
Même si l’OMS répertorie certains effets secondaires indésirables de la Chloroquine lorsqu’elle est utilisée dans le traitement du paludisme, y compris les maux de tête et les symptômes gastro-intestinaux, les effets secondaires sont uniquement limités le temps du traitement. Le traitement, qui serait donc efficace après moins d’une dizaine de jours, permettrait donc des effets secondaires limités dans le temps : environ 2 semaines d’effets indésirables au maximum.
Plusieurs publications scientifiques en parlent :
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0924857920300820
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0166354220301145
De plus en plus de tests vont être pratiqués en France
Avoir trouvé un traitement c’est bien, mais pouvoir l’administrer aux patients malades, c’est mieux. Et afin de détecter les potentiels infectés du COVID-19, il faut avoir des tests à disposition. Si jusqu’à maintenant la France faisait figure de mauvais élève (seulement 3000 tests effectués, contre plus de 250 000 par exemple pour la Corée du Sud), le Président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé que cela allait changer et que les médecins allaient être amenés à pratiquer de plus en plus.